Uncategorized

Category Archives:Uncategorized

Comment formuler ses vœux sur Parcoursup ?

Les questions auxquelles je vais devoir répondre

  • la stratégie à adopter ?
  • quels sont les attendus ?
  • Comment préparer au mieux mon dossier ?
  • Comment rédiger mon projet de formation motivé ?
  • Que faire quand les premières réponses positives ou négatives arrivent ?
  • Comment gérer les vœux en attente ? 

Je vous accompagne pas à pas pour vous aider à y voir plus clair à chaque étape de Parcoursup.

Comment rechercher une formation sur Parcoursup ?

Passage obligé pour les futurs bacheliers, les étudiants en réorientation ou ceux qui souhaitent se réorienter après une année de césure, Parcoursup est surtout source de craintes et d’inquiétudes de la part des jeunes et de leurs parents. Une aide à l’inscription sur Parcoursup pour le choix de vos vœux, la rédaction de votre lettre de motivation et/ou de votre projet de formation motivé peut être donc déterminant.

L’estime de soi

L’estime de soi, quelques pistes pour la développer !


L’estime de soi c’est la faculté à apprécier sa valeur, tout en étant conscient de ses faiblesses et de ses atouts.
Si j’ai une bonne estime de moi, j’accepte d’assumer mes erreurs sans chercher un bouc émissaire, je n’en veux pas à l’autre et j’ose exprimer mon point de vue.

• Que nous apporte un bon niveau d’estime de soi ?

Un bon niveau d’estime de soi permet d’amortir le choc d’un échec en tirant les leçons de celui-ci. L’estime de soi joue le rôle d’amortisseur en nous donnant cette capacité à poser un regard distancié par rapport à la pression sociale et le regard d’autrui.

Parce que je me donne davantage de reconnaissance, je suis moins dépendant de la reconnaissance d’autrui.

• Quels sont les comportements qui fragilisent l’estime de soi ?

L’estime peut être fragilisée par certains comportements tels que :
– se mettre la barre trop haut,
– s’épuiser à rechercher la perfection,
– ne pas se donner le droit à l’erreur,
– se comparer en permanence à ceux qui font mieux sans prendre en compte les domaines où on est meilleur.

• Quelques pistes pour développer l’estime de soi :

– Identifier ses pensées limitantes :

Épictète : « ce ne sont pas les choses qui nous nuisent mais le regard que nous portons sur elles ».

Notre réalité correspond à celle que nous avons fabriqué à travers nos perceptions et notre subjectivité, fruit de notre éducation et de ce que nous avons construit au fil de nos expériences (je ne suis pas doué pour…., la vie est dure…., je ne suis pas assez intelligent…).

– Demandez un avis à des proches :

Sollicitez un proche bienveillant pour vous aider à prendre du recul. Mais attention, pour que cet avis soit utile, il faut être capable de recevoir une critique.

– Savoir recevoir une critique :

Pour recevoir une critique constructive :
– soyez à l’écoute,
– demandez des exemples concrets de ce qui vous est reproché,
– lorsqu’elle est factuelle, accueillez la critique sans chercher à vous défendre ou à contre-attaquer,
– faites savoir que la critique a été entendue et acceptée,
– remerciez votre interlocuteur s’il vous permet de prendre conscience d’un comportement qui vous nuit ou nuit à votre entourage,
– donnez des exemples pratiques de solutions pour être sûr d’avoir bien compris ce que votre interlocuteur souhaiterait comme évolution.

Pour faire face à une critique calomnieuse, faites l’édredon « c’est ton point de vue », ne vous justifiez pas, et essayez d’atteindre la faiblesse qui se révèle à travers l’agressivité de votre interlocuteur (jalousie, erreur de jugement…) en lui demandant quel est son objectif en disant cela.

– Se donner le droit à l’erreur :

« Il est préférable d’essayer et d’échouer plutôt que d’enterrer tranquillement et frileusement son talent ».

L’application positive du droit à l’erreur présente plusieurs avantages, lesquels ?

Tout d’abord il aide à assumer ses erreurs sans catastrophisme et réduit la pression excessive d’une société de plus en plus exigeante sur le plan de la performance.
En renforçant le droit à l’erreur, on renforce le droit à l’initiative. Plus j’accepte l’erreur comme étape d’un processus d’apprentissage, de progression, moins la culpabilité liée à l’échec est présente.

– Etre bienveillant avec soi-même :

Lorsque nous avons échoué, il est intéressant de se demander quel regard nous porterions sur notre meilleur ami s’il rencontrait la même difficulté et comment nous nous y prendrions pour le soutenir. Il importe ensuite de prodiguer à soi-même le même réconfort.
Lorsque nous n’avons pas atteint un objectif, nous nous devons de regarder notre action avec bienveillance en nous disant que nous avons fait du mieux que l’on a pu avec les ressources qui étaient les nôtres à ce moment là.
Nos parents ou l’école nous ont peut-être transmis implicitement l’idée que plus on est dur avec soi-même, plus on va loin. Mais cette idée est aussi répandue que fausse. Plus je me dénigre, plus je perds confiance en moi et moins j’ai de chances de pouvoir regarder l’échec comme un moyen d’apprentissage et une étape vers la réussite.

Pour progresser dans l’estime de soi, je dois sortir du cercle vicieux de l’auto-dénigrement, orienter mon énergie vers l’avenir et mes pensées vers les moyens dont je dispose pour dépasser l’écueil rencontré.

Atelier Coaching Parental

Venez participer à un atelier sur le thème : « Comment impliquer son enfant dans sa scolarité » le jeudi 04 mai 2017.

* préparer les ingrédients nécessaires à l’accompagnement de la scolarité de votre enfant,

* adopter une posture ferme et bienveillante,

* comprendre les problématiques liées à la scolarité et trouver vos solutions.

Session d’accompagnement à la recherche d’emploi en présentiel sur Toulouse

Les 4 accords Toltèques expliqués aux enfants.

communication-bienveillante-pour-les-enfants

Pas évident de transmettre des valeurs humanistes à un enfant sans le brusquer ni imposer ses idéaux. Une courte vidéo change la donne en exprimant simplement, à l’aide de dessins, les 4 grands accords Toltèques de Miguel Ruiz, pour leur permettre d’appréhender le monde sereinement et en toute liberté.

Comment donc rendre accessibles aux enfants des valeurs qui les arment à la fois de tolérance, de patience et de courage pour affronter un avenir incertain ? Il existe bien des ouvrages alternatifs qui s’y risquent, comme ceux des éditions Chant d’Orties, mais rares sont les vidéos pédagogiques adaptées aux très jeunes. Une vidéo produite par Mélissa Monnier, étudiante à la Haute école d’art et design de Genève (HEAD) vient en aide aux parents qui cherchent une introduction simplifiées à des valeurs libres et non-dogmatiques pour leur enfant.

Fruit de trois mois de travail dans le cadre d’un projet scolaire, cette animation intitulée « Chevalier des temps modernes » fut réalisée sur base du livre « La chevalerie relationnelle » de Miguel Ruiz (traduit de l’anglais par Olivier Clerc). Objectif : revisiter les accords Toltèques pour rendre ses principes accessibles aux enfants dès 7 ans. « Cette vidéo à pour but de nous aider à établir des liens sociaux harmonieux, dans le respect de l’autre et aussi de soi-même. ». À n’en pas douter, ce projet d’une grande qualité ne laissera ni enfants, ni adultes, indifférents…

PASSONS MAINTENANT À LA PRÉSENTATION DÉTAILLÉE DES 4 ACCORDS : 
1ER ACCORD : QUE TA PAROLE SOIT IMPECCABLE.

Ce qui n’est pas impeccable : la manipulation, le mensonge, la critique, l’insulte…

Parler impeccablement signifie « dire ce que l’on pense sincèrement sans agresser personne. »

Avouons que cela demande un brin de pratique !

2EME ACCORD : NE RÉAGIS PAS DE FAÇON PERSONNELLE.

Cela consiste à ne pas se laisser dicter notre vie par notre égo. Tout ne tourne pas autour de nous et nous sommes rarement la cible des critiques ou des discussions.

Il y a donc deux manière de ne pas réagir de façon personnelle :

– facile : en cessant d’interpréter chaque évènement comme si nous en étions le centre.

– moins facile : en ne réagissant pas du tout.

« On ne voit pas les choses comme elles sont mais comme on est. » Le Talmud

3EME ACCORD : NE FAIS PAS DE SUPPOSITION

Nous ne pouvons savoir pourquoi les gens font ce qu’ils font. D’ailleurs, ils ne le savent pas eux-mêmes la plupart du temps.

La vie n’est pas logique, ou disons qu’elle a sa propre logique qui échappe à l’homme. Alors, cessons de supputer, prenons du recul et tenons-nous en aux faits. Nous libérerons de la place pour des pensées constructives.

4EME ACCORD : FAIS TOUJOURS DE TON MIEUX

« Faisons sans jamais juger car le jugement est une émanation directe de l’égo ».

Ainsi, agissons du mieux possible dans l’instant présent et lâchons prise. Ne prononcez plus : « si j’avais su… ».

De toute façon, la perfection n’est pas atteignable. Pourquoi stresser ?

Adoptons la notion « d’apprentissage permanent ». C’est libérateur.

En revanche, nous ne serons jamais aussi efficaces que lorsque nous nous fixerons un objectif AVANT d’agir. Ne l’oublions pas, nous nous dirigerons plus facilement là où nous porterons notre regard.

Bien-être au travail : les cadres français soucieux de leur vie privée.

Selon une enquête Robert Walters, 72 % des cadres français sont connectés à leurs collègues via les réseaux sociaux professionnels, mais à peine 6 % le sont sur Facebook, Twitter ou Instagram.

À l’instar des salariés d’autres pays européens, les cadres français sont largement connectés à leurs collègues par le biais des réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn et Viadeo, selon une étude Robert Walters*. C’est moins le cas pour Facebook, Twitter ou Instagram (6 %), les répondants étant soucieux de séparer leur vie professionnelle de leur vie privée. 22 % d’entre eux ne sont néanmoins pas du tout connectés à leurs collègues.

Team building
En France comme en Europe, la bonne ambiance au travail passe tout d’abord par des déjeuners d’équipe (90 %), puis par des activités de team building (78,6 %). Se rencontrer en dehors du lieu de travail paraît important pour moins d’un répondant sur deux (44,8 %). Si 74,5 % des cadres participent en effet à des déjeuners d’équipe et 46 % à des conférences et séminaires, seuls 32 % des répondants se joignent à des activités de team building, pourtant jugées utiles à la création du lien social.

Programme personnalisé d’information
Quant aux questions de motivation, la première raison mentionnée pour rejoindre un nouvel environnement de travail concerne le contenu de la mission (52,5 %), suivi du salaire (29 %) et des perspectives d’évolution (22,15 %). D’ailleurs, 34 % des répondants estiment qu’un programme de formation personnalisé ou un coaching individuel permettrait d’améliorer la performance de leur entreprise, suivi de 25 % pour la mise en place d’outils technologiques.

* Une enquête menée par Robert Walters à l’échelle européenne en avril 2015 auprès de 6 500 cadres.

Comment développer le sentiment d’efficacité personnelle dans les études.

Je rencontre souvent chez les jeunes que j’accompagne (collégiens, lycéens), ce sentiment que la scolarité leur échappe; une impression d’impuissance face aux évènements extérieurs.

Les jeunes me disent qu’ils ont l’impression de subir, qu’ils ne peuvent pas faire grand-chose pour que ça change.

Ce sentiment d’impuissance, je vous rassure, est totalement SUBJECTIF et IRRATIONNEL.

Pourquoi ?

Parce qu’il repose sur deux croyances qui a elles seules impactent très négativement sur ce sentiment d’efficacité.

Il est important de s’arrêter un instant sur ces deux croyances et d’en comprendre leurs origines pour pouvoir trouver les solutions.

1ère croyance :  La croyance de contexte.

C’est la croyance qui amène le jeune à penser à l’avance qu’il va échouer. Pour cela il évoquera des raisons qu’il pense vraies mais qui relèvent complètement d’un caractère subjectif tel que : « je peux faire tous les efforts ça ne marchera jamais parce que le prof ne m’aime pas« .

2ème croyance : La croyance de capacité.

Le jeune sera convaincu d’avoir ou pas les ressources requises pour réussir. Dans le cas où il pense qu’il ne les a pas, il se persuade que quoi qu’il fasse, il ne sera jamais bon.

Comment faire pour agir sur ces deux croyances et les transformer en force ?

Le coaching est le bon outil pour modifier ces croyances. Tout d’abord parce que le travail avec le coach se fait en entretien individuel, ce qui laisse toute la place et la disponibilité au « jeune » de s’exprimer.

Agissons sur la croyance de contexte : le coach amène le « jeune » à se focaliser sur ce qu’il a appris, sur les exercices qu’il a réussi à faire et à refaire en préparant son échéance. On l’amène à s’évaluer de manière très factuelle.

Pour faire évoluer la croyance de capacité, et faire en sorte que le « jeune » s’appuie sur celle-ci et la transforme en « je crois que je suis capable de…« , le rôle du coach va être de le rassurer.

Comment ?

En s’appuyant sur des éléments les plus objectifs possibles :

– l’évolution des notes

– les causes de réussites sur des échéances passées

– les cause de réussites en relation avec les erreurs

Il est primordial, dans un milieu éducatif, de développer le sentiment d’efficacité personnel. De ce fait, chaque élève s’investira d’avantage dans une activité si celle-ci se réfère déjà à des expériences positives pour lui et ses pairs, et si il est fortement encouragé.

Diminuer votre stress grâce à un regard responsable.

Avouez-le, il est plus souvent facile d’accuser les contraintes de son environnement que d’assumer les conséquences de ses propres choix.

Merci à ce vieux réflexe qui permet parfois de nous soulager, et qui nourrit pour certain un secret espoir de trouver une personne compatissante qui pourrait écouter nos plaintes. Mais sachez que tant que vous attendrez une solution des autres, bien installé dans votre inaction, la situation durera et votre stress n’en sera qu’amplifié.

Alors, arrêtez d’entretenir votre stress, et prenez soin de vous : passez à l’action en changeant votre angle de vue. Tournez le regard vers vous car bonne nouvelle, c’est vous qui avez la solution; c’est une certitude.

Effectivement, la vie n’est pas parfaite, je ne suis pas en train de vous dire qu’il faut tout le temps être satisfait malgré les évènements, mais il est certain que se plaindre ne résout rien, et vous limitera dans votre volonté à trouver des solutions et à ne plus être stressé.

Avantage supplémentaire, lorsque vous êtes concentré sur l’action, il y a moins de place pour l’imaginaire et le stress.

Quand vous êtes dans une situation qui ne vous convient pas, vous n’y êtes pas arrivé par hasard, sans que cela ne passe par une série de causes à effet. Vous avez fait des choix, vous avez pris des décisions ou pas (et oui parfois vous n’avez pas décidé…mais ne pas décider est une forme de décision). Logiquement, si vous décidez que vous n’y êtes pour rien, vous allez rejoindre ceux à qui il arrive toujours les mêmes problèmes.

Recherchez plutôt là où vous auriez pu agir différemment pour arriver à votre objectif. Agissez et trouvez vos solutions possibles, sans attendre une assistance providentielle. Ou alors provoquez cette assistance par le biais d’un coaching qui se fera sans influence de la part du Coach. Cette responsabilité totale vous fera vous sentir mieux. Vous ne subirez plus les situations difficiles en considérant que le problème comme la solution viennent de vous.

Chacun parce qu’il pense, est seul responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c’est-à-dire de sa destinée.  Platon

 

Changeons notre vision des choses !!

Avez-vous déjà été réveillé en pleine nuit en pensant à un problème qui vous préoccupe ou une situation angoissante que vous devez affronter ?

Vous avez néanmoins réussi à vous rendormir et à passer une bonne fin de nuit. En vous réveillant, le lendemain matin, vous vous sentez parfaitement à l’aise pour l’affronter. Or le problème reste entier, la situation demeure inchangée, alors que s’est il passé ?

Peut être avez-vous trouvé un moyen différent de l’aborder, ou que vous avez une autre idée de la façon dont cela doit se passer.

La nuit portant conseil, la réalité n’a pas changé, mais le film que vous en faites, lui, a changé. Une même idée peut faire le scénario d’un drame ou d’une comédie, au libre choix de l’auteur.

Vous l’avez compris, nos émotions dépendent du regard que l’on a sur une situation. Changer notre regard fait évoluer nos émotions. C’est plutôt une bonne nouvelle, car il est plus facile de changer notre point de vue que de modifier notre environnement.

Pour calmer vos émotions, changez donc votre regard sur les situations, vous gagnerez en efficacité.